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  • WW1 mannequin Officier capitaine médecin US vers 1918

    WW1 mannequin Officier capitaine médecin US vers 1918
    WW1 mannequin Officier capitaine médecin US vers 1918
    WW1 mannequin Officier capitaine médecin US vers 1918
    WW1 mannequin Officier capitaine médecin US vers 1918
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    WW1 mannequin Officier capitaine médecin US vers 1918
    WW1 mannequin Officier capitaine médecin US vers 1918

    WW1 mannequin Officier capitaine médecin US vers 1918
    Bonjour, je vous propose à la vente ce très bel uniforme de médecin capitaine de l’armée américaine vers 1918. Médecin capitaine 41 division, patch sur le manteau et sur la vareuse. Vareuse casquette et manteau de la même origine. Uniforme médecin US Medic WW1 Vareuse avec quelques trous et accrocs, tâches. Patchée, insignes de col, et chevrons. Culotte officier TBE, Manteau officier TBE, insigne et chevrons, quelques dégâts dans la cannetille, sinon TBE Casquette officier US WW1, petits trous de mite et basane décousue, bandeau insolé, sinon TBE Gants, bottes aviateurs, ceinturon. Plus de renseignements sur demande. Le Service de Santé US dans la Vallée du Cher. Deux « Bases Hôpital » installées une à Blois et lautre beaucoup plus tardivement à Pruniers et pas moins de cinq « Camps Hôpital » composent le Service de Santé US dans la Vallée du Cher. Ces hôpitaux sont dotés de matériel moderne pour lépoque, notamment des salles de radiographie. A cet ensemble, il faut ajouter les « ambulances » comme celle de Monthou-sur-Cher. Elle était logée avec lEtat-Major du régiment à la Villa Ariane, celle de Thésée au château du Vaulx St. Georges, celle de Bourré au Château de Vallagon, celle de Montrichard dans les Hospices de Montrichard qui se transforment en hôpital mixte ou encore « la Compagnie Ambulance 161e » logée, elle, au château de Selle-sur-Cher. Des Majors disponibles pour soigner les civils. Il faut souligner, la grande disponibilité des Majors américains pour soigner la population civile lorsqu’elle fait appel à eux. Nous en avons plusieurs exemples, notamment celui de Monsieur Bernard Ménage de Montrichard : « Je fut frappé dune méningite cérébro-spinale, mon père désespéré alla trouver le pharmacien, qui téléphona au major du camp de Noyers. Dans lheure qui suivit, une ambulance vint me chercher. On me fit une ponction lombaire et le lendemain, jai repris connaissance. Jai été bien soigné et gâté par les médecins et infirmiers.. Celui également de Mr Lemoine : « maman était tombée très malade : phlegmon à la gorge Ma tante avait demandé au major de venir lexaminer. Il vint, lausculta, et demanda à ce quelle soit hospitalisée à Montrichard avec des prescriptions médicales, paraît-il, nouvelles pour lépoque. Elle guérit rapidement ». Cette disponibilité dérange docteurs locaux! A tel point quun médecin généraliste de Montrichard, fera signer une pétition par la population visant à interdire cette pratique. Il perdait sa clientèle. La décision dinterdiction sera prise puis, très rapidement rapportée. La Base Hôpital 43 : Préalablement Camp Hôpital 25. Vue d’une partie de la Base Hopital 43. Ville de Blois (Photo Signal Corps). Il est organisé en janvier 1918 à Blois. Dune capacité de 939 lits repartis dans 7 vieux immeubles dispersés dans la ville. Il sera remplacée par la Base Hôpital 43. Elle est organisée en juin 1917 à Emory Université à Atlanta. Mobilisée le 4 mars 1917, et après 3 mois dentrainement et déquipement, elle est transférée au Camp Meritt. Le 14 juin, elle embarque sur lOlympe, arrive à Southampton le 21 juin, le 23 juin au Havre, le 27 juin 1918 à Blois. La Base Hôpital 43 occupe les locaux du Camp Hôpital 25. Elle est divisée en plusieurs secteurs (maladie, chirurgie orthopédie, maladies vénériennes prises en charges dans lhôpital mixte du couvent des Bénédictines, maladies mentales, section des convalescents). Elle a une capacité de 500 lits pour la maladie et de 1 000 lits pour la chirurgie. La capacité peut être portée à 1 397 en cas durgence et à 2000 en cas durgence absolue. Les bâtiments, dispersés dans toute la ville, fonctionnent de manière quasi autonome, mais cela nécessite plus de personnels. Cet hôpital va se distinguer par ses recherches médicales sur les soins pour les soldats victimes des gaz chimiques. 3 jours par semaine, des cours sont organisés pour les malades et blessés. Lhistoire de la France et de lAngleterre mais aussi lagriculture y sont dispensées. Les journées de travail y sont longues et difficiles : 1 infirmière soccupe de 10 lits. Les moments de repos des personnels sont consacrés à la visite de la ville ou des environs. Mais, le plaisir le plus apprécié est celui daller déguster dan un petit bistro de la ville, chez « Madame Bedot », un verre de vin de Loire, un steak-salade ou steak-frites! Une équipe de base-ball, sous la direction du Capitaine Franck Andrew, participe aux compétitions militaires. Après 6 mois et 18 jours dactivités, le 20 janvier 1919, la Base Hôpital 43 ferme. Elle a traité 9 037 patients et compte 102 décès. Elle part pour lAmérique le 21 janvier avec 2 237 patients atteints pour 46 de pneumonies; 20 de broncho-pneumonies ; 213 de grippe et de dysenterie ; 1 de malaria ; 26 de maladies vénériennes ; 5 de méningite ; 2 de scarlatine ; 4 de diphtérie, ; 33 doreillons ; 559 de maladies diverses et 40 cas ne sont pas encore diagnostiqués. Il y a également des blessés, 92 de blessures diverses ; 513 de blessures graves ; 574 de blessures légères par balles ; 93 gazés ; 6 brûlés par les gaz ; 9 intoxiqués par inhalation. Le Camp Hôpital 43 à Gièvres. En fait, le premier service sanitaire qui sinstalle dans le Loir et Cher est linfirmerie du 15e Régiment du Génie qui débute la construction de la Station-Magasin. Elle débute en novembre 1917, composée de 2 baraques de bois, pour les soldats du régiment mais aussi pour les travailleurs civils, chinois et espagnols qui participent à la construction. En septembre 1918, le Camp Hôpital compte 24 barrages et 20 tentes ; lhôpital a une salle de radiographie. Il fonctionne comme une Base Hôpital. Les services de chirurgie et dorthopédie seront par la suite transférés à la Base Hôpital n° 3 stationnée à Châteauroux. Le Camp Hôpital n° 87. Il est installé le 1er Octobre 1918, à Cour-Cheverny, au Château de Chantreuil. Il a une capacité de 100 lits. Il avait pour spécialité de soigner les soldats des transmissions. Il cessa son activité le 17 février 1919. Le Camp Hôpital nº 37. Il est installé le 15 mars 1918, à Romorantin, pour lusine de montage davion Nº 2. Il était logé dans une aile de lécole de jeunes filles. Lhôpital occupait tous les étages dune aile, lautre étant réservée à lécole. Un mess et des bains douches furent installés dans 3 baraques, pour le personnel mais aussi les patients en cas durgence. Des baraques accueillaient des malades contagieux. Avec ses possibilités daccueil supplémentaires, lhôpital est passé de 150 à 235 lit. 2 279 malades furent soignés et 152 actes chirurgicaux furent effectués. Il a été transformé en infirmerie le 28 février 1919. Le Camp Hôpital N° 26 à Noyers. Il est créé le 26 avril 1918, pour le camp de dépôt de Noyers-St-Aignan. Constitué de 15 baraques en bois, contenant 32 lits chacune, soit 480 lits. Deux annexes principales seront ouvertes à St-Aignan dune capacité de 200 lits et lautre à Pontlevoy dune capacité de 500 lits. En cas de crise, il pouvait traiter 1 500, voire 2 200 patients. Dautres annexes ont été ouvertes, comme on l’a vu, à Monthou sur Cher au Château de la Croix, à Montrichard dans les Hospices de Montrichard, dans le Château de Vallagon à Bourré. Le 18 juin 1919, le personnel retourne aux Etats-Unis. Il est démobilisé le 28 juin1919. La Base Hôpital 94. La base hôpital 94 a été organisée le 23 juillet 1918. Après une formation militaire et une épidémie de grippes qui retarde son départ , elle prend la mer le 19 octobre sur le « Walmer Castle », passe par lAngleterre, arrive au Havre le 3 novembre et par train à sa destination, le camp de Pruniers le 7 novembre. Cet hôpital a une capacité de 1 000 lits dans des baraquements de bois. Il ne dépend pas dun hôpital central et fonctionne de manière indépendante. Une semaine après son arrivée, 539 patients étaient admis. En février 1919, la majorité des personnels sont transférés dans diverses organisations. Le 10 février 1919, ce quil demeure de lhôpital, retourne en Amérique. LHôpital jamais achevé de Montoire. Le 7 mars 1918, le Sous-Secrétaire dEtat du Service de Santé Militaire informe le Préfet de Loir et Cher : « Jai lhonneur de vous faire connaître quaucun hôpital militaire. Rapport de la gendarmerie. Américain ne sera jusquà nouvel ordre, organisé dans cette place » (la place militaire de Vendôme). Le 24 août 1918, le Sous-Préfet de Vendôme, informe le Préfet de Loir et Cher que. Il a appris que sur un terrain de 170 hectares situé au Nord de la ville de Montoire, larmée américaine projette de construire un hôpital composé de 10 pavillons de 1 000 lits chacun. Le projet est soumis au Quartier Général. Si le feu vert est donné, la construction commence dans les 15 jours. Les travaux sont confiés à un certain Mr Dufour de lentreprise Dufour Construction Générale de Paris. Monsieur Dufour a loué le château de Ronay pour y installer ses bureaux et son logement. La main doeuvre nombreuse sera étrangère. Compte tenu de lampleur du chantier, il est nécessaire de créer un poste de commissaire et des postes dagents, pour assurer surveillance et sécurité. Il précise quil est au courant par hasard et que personne ne la informé de quoi que ce soit! Le 14 septembre 1918, le Sous-Préfet informe le Préfet que les travaux ont commencé. Il précise le projet : 10 hôpitaux indépendants les uns des autres, dotés de tous le matériel utile, dune capacité de 1 000 lits chacun, sont en cours de construction. 100 ouvriers environ sont à la tâche. Ce sont des belges, des espagnols, des italiens. Leur nombre sera porté à 1 000 en octobre et à 2 000 en novembre-décembre. Le Sous-Préfet souligne que la proximité dun camp de prisonniers dofficiers allemands exige des mesures de sécurité particulières. Le 22 septembre, le rapport du Chef de Brigade de 3e Classe de la Gendarmerie, confirme les travaux en cours. Le nombre de travailleurs a augmenté, il est de 170 et des suisses et portugais se sont ajoutés aux autres ouvriers. Très rapidement, au mois doctobre, ils seront 1 200 pour travailler. Les travaux de terrassement se poursuivent et les « fondations en ciment armé commencent à sortir de terre ». La signature de larmistice met un point final à ce projet. Il sinscrivait dans le projet global de larmée américaine de porter la capacité de ses hôpitaux à un million de lits. PAS D’ENVOI MERCI!!!! L’item « WW1 mannequin Officier capitaine médecin US vers 1918″ est en vente depuis le samedi 6 novembre 2021. Il est dans la catégorie « Collections\Militaria\Uniformes, coiffures, casques\1ère guerre mondiale 14-18″. Le vendeur est « bantja » et est localisé à/en Nancy. Cet article ne peut pas être livré, l’acheteur doit venir le chercher.
    • Sous-type: Tenue
    • Service: Armée de terre
    • Période: 1914-1918
    • Objet modifié: Non
    • Pays de fabrication: États Unis
    • Pays, Organisation: Etats-Unis
    • Grade: Capitaine
    • Type: Vêtement, Uniforme

    WW1 mannequin Officier capitaine médecin US vers 1918
  • Air Aviation Pilote WWI Avion CAUDRON G3 NOTICE TECHNIQUE ORIGINAL daté 1918

    Air Aviation Pilote WWI Avion CAUDRON G3 NOTICE TECHNIQUE ORIGINAL daté 1918
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    Air Aviation Pilote WWI Avion CAUDRON G3 NOTICE TECHNIQUE ORIGINAL daté 1918
    Livret / fascicule ancien et authentique. Fascicule A Notice Technique du type de l’avion G. 21,5 x 14 centimètres. En bon état d’usage. Seuls sont assurés les objets envoyés en recommandé. This item is an ORIGINAL. L’item « Air Aviation Pilote WWI Avion CAUDRON G3 NOTICE TECHNIQUE ORIGINAL daté 1918″ est en vente depuis le lundi 13 septembre 2021. Il est dans la catégorie « Collections\Militaria\Uniformes, coiffures, casques\1ère guerre mondiale 14-18″. Le vendeur est « militaria-leberetvert » et est localisé à/en Toulon. Cet article peut être livré partout dans le monde.
    • Sous-type: Livret technique
    • Objet modifié: Non
    • Pays, Organisation: France
    • Type: Document
    • Service: Armée de l’air
    • Période: 1914-1918
    • Pays de fabrication: France

    Air Aviation Pilote WWI Avion CAUDRON G3 NOTICE TECHNIQUE ORIGINAL daté 1918